• 68 planches, pour un hypothétique roman graphique de 72 pages.

    J'ai dû trancher : des personnages ont disparu, certaines péripéties aussi, mais globalement ça reste la même histoire.

    Le roman graphique (découpé en une dizaine de scènes) bénéficie d'une narration beaucoup plus linéaire que le roman (découpé en une trentaine de chapitres).

    Je me suis fixé certaines contraintes : pas plus de dix cases par page (une moyenne de six/sept), pas plus de treize bulles (une moyenne de dix, cartouches narratifs compris).

    Comme il m'est impossible de juger le résultat, je vais l'envoyer dans les jours qui viennent à quelques amis pour voir ce qu'ils en pensent.

     

    TD

     






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